Certaines décisions de justice peuvent être surprenantes. C’était également le cas cette fois-ci. C’est difficile à croire. Lisez ce qu’a donné la dernière affaire judiciaire.
Depuis l’apparition du coronavirus dans le monde, beaucoup de temps a été consacré aux thèmes de la vaccination et des vaccins. On a également beaucoup parlé de tester les vaccins sur les enfants. Sur son compte Twitter, Anna Kubala, qui travaille comme conseillère juridique, a informé le public d’une décision de justice surprenante.
Elle a écrit, entre autres, que le comité de bioéthique de la Chambre médicale régionale a illégalement dissimulé son avis positif sur les essais cliniques des vaccins Pfizer sur les enfants. Il a également publié le contenu de l’arrêt.
La Commission était l’entité obligée de mettre à disposition les informations publiques. En vertu de l’article 4, paragraphe 1, alinéa 1 de l’a.d.i.p., les entités tenues de mettre à disposition les informations publiques sont les autorités publiques et les autres entités exécutant des tâches publiques, notamment les autorités publiques – elle a écrit.
Il incombe à l’autorité de mettre à disposition les informations publiques (…) d’une manière et sous une forme compatibles avec la demande (article 13, paragraphe 1, de l’a.d.i.p.) ou, à défaut, de prendre une décision de refus d’accès aux informations publiques demandées (article 16, paragraphe 1, en liaison avec l’article 5, paragraphes 1 et 2, de l’a.d.i.p.), a-t-elle ajouté.
L’entrée Twitter peut être vue ici :
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